C’est sous la houlette de Sylvia Bongo Ondimba que la Fondation éponyme a vu le jour le 4 janvier 2011. Depuis lors, elle n’a pas cessée de lutter pour la protection et l’amélioration des conditions de vie des Gabonais les plus vulnérables, de la santé à l’éducation, en passant par les droits des femmes et le soutien aux personnes vivant avec un handicap. Elle a même reçu en 2019, le Prix national des droits de l’homme.
En effet, Sylvia Bongo Ondimba n’a ménagée aucuns efforts pour l’instauration des programmes tels que « Agir pour le cancer », la Journée internationale des veuves. Ainsi, le combat pour l’autonomisation et l’émancipation des femmes est au cœur de l’activité de la Fondation. Car, les femmes (c’est-à-dire nos filles, nos sœurs, nos mères, nos épouses) jouent un rôle essentiel pour le bien-être des membres de leur famille et pour le bon fonctionnement des communautés.
Malgré la persistance d’inégalités au Gabon, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille continue de marquer de son empreinte, la protection contre toute forme de préjudice physique et moral. Elle a même pu mobilisée de nombreux partenaires et réalisée de nombreux campagne de prévention avec l’installation du Village Rose au cœur des marathons et autres courses du Gabon. Sans oublier la caravane de causeries.
Cet engagement en faveur des droits des femmes s’est poursuivi par la création de deux prix dans l’optique d’encourager les membres de la société civile qui sont des acteurs importants de cette cause. Il s’agit du Prix Agathe Okumba d’Okwatsegue, du nom d’une pionnière en matière de défense des droits des femmes au Gabon, qui récompensé deux associations, Cris de femme et l’Observatoire des Droits de la Femme et de la Parité (ODEFPA), pour leur contribution à la lutte contre les violences faites aux femmes au Gabon. Mais il y a aussi le concours « Coup 2 Cœur », qui a mis en exergue deux nouveaux réalisateurs gabonais, par rapport à la sensibilisation sur le fléau des violences faites aux femmes.