Actuellement devant la cour criminelle spécialisée de Libreville. L’ancien administrateur directeur général de Gabon Oil Compagny (GOC), Christian Patrichi Tanasa qui comparait pour plusieurs chefs d’accusations a à son tour fait des révélations choques qui viennent une fois encore enfoncer l’ancien homme fort du cabinet du chef de l’Etat, Brice Laccruche Alihanga.
En effet, l’ancien administrateur directeur général de Gabon Oil Compagny qui a vu son premier procès reporté pour cause de mouvement d’humeur de la part des hommes en robe noire a lors de sa deuxième journée de comparution ce 19 juillet courant indiqué la raison pour laquelle il a été obligé d’effectuer certains décaissement parfois injustifié qui lui valent aujourd’hui des ennuis judiciaire.
Soupçonné de détournement de fonds publics qui aurait servi entre autres au paiement du sponsoring et mécénat, Christian Patrichi Tanasa a contre toute attente fait savoir aux juges qu’il ne pouvait ne pas s’exécuter aux instructions de Brice Laccruche Alihanga. « Si j’avais dit non, mon séjour en prison aurait intervenu plus tôt », a-t-il fait savoir.
Autrement dit, lui comme bien d’autres dans sa situation prit lors de l’opération anti-corruption ne pouvaient agir autrement du fait de l’épée de Damoclès sans cesse brandit au-dessus de leur tête par l’ancien tout puissance directeur de cabinet du Chef de l’Etat, BLA.