Chef de file des négociateurs africains, le chef d’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba, au deuxième jour de la COP26 a été interviewé par le média britannique, Sky news. Lors de son interview le chef d’Etat a insisté sur la nécessité d’agir pour le bien de l’humanité.
L’Afrique est le continent qui pollue le moins la planète, mais en termes de dégâts, les effets du réchauffement climatique sont plus visibles sur le continent. En d’autres termes, le continent africain paie le lourd tribut des changements climatiques. C’est pourquoi, le chef d’Etat a estimé que l’heure était grave et qu’il était temps pour tous d’agir.
Car, si l’Afrique, elle aussi, se lance dans une industrialisation frénétique, c’est la planète entière qui en pâtirait. Faisant partie de la forêt du bassin du Congo, le Gabon grâce à son couvert forestier séquestre chaque année 100 millions de carbones. C’est en misant sur une coupe planifiée et organisée que le gouvernement gabonais y arrive. Autre avantage à mettre à l’actif de notre pays, toute la politique mise en place pour la préservation de la biodiversité.
Des statistiques qui démontrent que les pays africains, mettent à la disposition du monde leur potentiel forestier pour préserver la planète et les générations futures.