Il est difficile de parler de développement sans aborder l’aspect du réseau routier en toute quiétude, capable de desservir dans toutes les provinces de l’arrière pays. Dans ce développement, les petites et les grandes agglomérations y passent.
Avant le kilométrage était très insuffisant, mais avec l’arrivée d’Ali Bongo Ondimba au pouvoir en 2009, il a su faire une cartographie de la route en vue de son exécution en tenant compte du dynamisme social et économique, et cela se confirme sur le terrain.
Pour revenir sur ce qu’il disait à propos de la liaison entre port- gentil et Omboué « ce ne sont pas les simples routes, mais des routes qui vont changer le Gabon…Le pays ne sera plus le même après ». Ali Bongo continue de porter une attention toute particulière à ces infrastructures routières avec un bilan bien chiffré.
A l’aube du septennat, le réseau routier couvrait à peine 817 km. Sept ans ont passé et il dépasse aujourd’hui les 1380 km, soit un kilométrage supérieur de 69% à ce qu’il représentait en 2009, certes qu’il reste beaucoup à faire, il faut retenir que le président entend bien poursuivre ce développement. 771 autres kilomètres ont été finalisés. Des grands ouvrages à l’image de cette route Port-Gentil- Omboué en est la preuve.
A Libreville, des voiries secondaires enregistrent une nette amélioration, les centre urbains qui n’avaient pas toujours bénéficié d’une réhabilitation ne sont pas en reste, ce désenclavement il faut le dire sont au profit du bien-être de la population à l’exemple de la construction des bassins versants.
Que dire du tronçon rio-PK12, que l’on peut désormais franchir en moins de 15 minutes, plus d’embouteillages, plus qu’un mauvais souvenir, mais ce dernier aujourd’hui fait la fierté des automobilistes et des riverains. En toute assurance, la route gabonaise avance.