C’est ce que vient de rapporter le média Africa intelligence, Omar Denis Junior serait coupable de harcèlement et de violence sur des membres de sa propre famille paternelle. Des actes de violences que ce dernier aurait commis en état d’ébriété.
En effet, au moment où, le chef d’Etat français Emmanuel Macron vient d’accorder des audiences à plusieurs chefs d’Etats africains, à l’instar d’Ali Bongo Ondimba et sassou Nguesso, dont l’un des conseillers n’est autre qu’Omar Denis Junior. Les accusations de violences qui pèsent sur le rejeton d’Omar Bongo risquent de faire couler encre et salive en France.
En séjour à Paris, les filles de Betty Bongo Ondimba vont se rendre dans un restaurant à la mode, le Dinand by Ferdi pour déguster des fastfoods. Une fois sur les lieux, Lucie Ondzounga et Marie Ondzounga vont tomber sur leur oncle maternel, Omar Denis qu’elles décriront dans leur déposition comme étant en état d’ébriété. Ce dernier est présent à Paris où son grand-père devait être reçu quelques heures plus tard par le président français Emmanuel Macron.
Conscient de la proximité entre la maman des deux jeunes dames et le couple présidentiel gabonais, Omar Denis Junior va sortir son téléphone et se mettre à les filmer sans leur avis tout en les couvrant de toute forme d’insanités. Lucie et Marie Ondzounga vont lui arracher son téléphone. C’est alors que conscient de l’état d’ébriété avancé du petit-fils du président congolais, son ami Hugues-Henry Ngouelondélé le fils du ministre des sports congolais va intervenir violemment. Il va les bousculer et cogner l’une contre l’autre les têtes des deux jeunes filles de Betty Bongo.
Afin d’obtenir des réparations pour le préjudice, Lucie et Marie Ondzounga ont immédiatement saisi des panelistes dont l’ancien ministre français de la justice, Dominique Perben, avant de se rendre au commissariat où leur déposition a été enregistrée. Une chose est sûre, Omar Denis par ce geste pourrait se retrouver en prison. Un comportement inapproprié pour une personnalité faisant partie d’une délégation présidentielle. Cela démontre l’immaturité de ce rejeton d’Omar Bongo.