Selon l’hebdomadaire la Lettre du continent, notre confrère dans son rapport donne les vraies raisons du retour des militaires gabonais dans leur pays, en mission en République centrafricaine et d’ailleurs saluée par la population. Ce qu’il faut savoir c’est que les soldats gabonais fréquentaient les bars en toute responsabilité pour se rafraîchir. Une raison bien différente de celle de l’ONU.
La Lettre du continent est sur d’une chose, c’est que cette décision de l’ONU de faire partir les soldats gabonais de Bangui a été pensée et non réfléchie. Des militaires gabonais avec le concours des autres maîtrisaient déjà la situation dans ce pays de l’Afrique centrale qui avait du mal a retrouvé la stabilité.
S’agissant de cette affaire qui a terni l’image du Gabon pendant que des militaires gabonais se sacrifiaient pour mettre de l’ordre où le désordre s’était installé. Que de l’ingratitude ! Des enquêteurs gabonais avaient été dépêchés en Centrafrique à la demande du président Ali Bongo Ondimba pour voir clair. Sur place à Bangui, les enquêteurs n’avaient rencontré aucune victime d’abus sexuels.
Une autre vérité, et non des moindres, c’est qu’une dame qui entretenait une relation consentante et régulière, et dans cette dernière serait né un enfant. En clair, pas de viole à l’égard des femmes de la part des soldats gabonais. La mère de l’enfant s’inquiétait au regard des inquiétudes vue la détresse que représentait le départ du père de son enfant. Aussi, du président centrafricain Faustin Archange Touadera à Libreville au Gabon, il a partiellement blanchi les troupes gabonaises en dénonçant une décision unilatérale.
La Lettre du Continent, dans son enquête, explique que cette expulsion serait consécutive au fait que le contingent gabonais en poste dans la ville d’Alindao a favorisé l’installation et le fleurissement d’un bar à proximité de leur base opérationnelle. En effet, si des accusations de câblages électriques entre la base gabonaise et ce débit de boisson sont faites, en réalité, ces branchements seraient antérieurs à l’arrivée des troupes gabonaises en République centrafricaine. La preuve que tout est mis en œuvre pour ternir l’image de nos troupes.
Pour l’heure, il serait question de voir comment justement laver l’image du Gabon dans cette affaire de fausse accusation de la part des militaires gabonais, qui ce jour-là étaient néanmoins heureux de regagner le pays.