Attendu pour le premier trimestre 2023 prochain, la promotrice dudit centre, Yvette Ngwevilo Rekangalt entend grâce à ce dernier se rapprocher un peu plus des opérateurs de la ZES de Nkok et ainsi les aider dans le règlement de leur conflit soit par arbitrage ou par médiation.
Encadré par l’Organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires (Ohada). L’Institut international de médiation, d’arbitrage et de conciliation (Iimac) aura toute son importance au sein de la Zone spéciale de Nkok dans la mesure où on n’y retrouve un grand nombre d’investisseurs de plusieurs nationalités et de domaines de production différents.
En effet, selon Yvette Ngwevilo Rekangalt, promotrice de l’Iimac, ces modes de règlements de conflit permettront de mettre à la disposition de ces entreprises et de ces investisseurs tous les moyens nécessaires à une résolution à l’amiable et plus rapide de leurs litiges et par conséquent de contribuer à l’amélioration du cadre de l’investissement et des affaires dans le pays.
« Ces investisseurs auront la quiétude que procure le sentiment qu’en cas de litige, la procédure est connue d’avance. Les praticiens arbitres ou juges travaillent en respectant les délais prescrits par l’Ohada dans les actes uniformes. L’Iimac qui a aujourd’hui plus de 15 points focaux (en cours de déploiement) donne autant de garanties pour agir avec des parties des quatre coins du monde », explique Yvette Ngwevilo Rekangalt.