La London School of Economics a organisé le mardi 19 octobre dernier, une conférence sur le thème « Reconnaître la valeur des super-puissances africaines en matière de carbone ». Et dans le classement effectué par les exposants figure le Gabon. Une reconnaissance qui confirme le travail et la place du Gabon en matière de lutte contre le réchauffement climatique.
A une dizaine de jours de la COP 26 de Glasgow et en présence du ministre de l’environnement, Lee White et Tanguy-Gahouma Bekala, la London School of Economics a une fois encore honoré le Gabon lors de cette conférence sur la reconnaissance des superpuissances africaines en matière de carbone.
Quand on sait que la lutte contre le réchauffement climatique est le combat du siècle et que le carbone, via la monétisation des émissions de CO2, sera le pétrole du XXIème siècle, on peut aisément en conclure, comme le fait la London Business School, que le Gabon est l’un des pays les mieux positionnés pour saisir les opportunités à venir.
D’une manière générale, la conférence a permis de souligner le rôle significatif joué par quelques pays africains – dont le Gabon – en matière de séquestration du carbone, mais également d’évoquer la sous-valorisation actuelle de ces tonnes de CO2 dont le prix devrait être renchéri afin de récompenser davantage ces pays dont le rôle est déterminant dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Une reconnaissance de plus qui vient réconforter les autorités gabonaises dans leur lutte contre les réchauffements climatiques.